Mesdames, Messieurs,
Le Droit International de Protection de la personne humaine n’est effectif que si les gouvernements utilisent leur vigilance pour le faire appliquer.
 La Chine est membre signataire de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants de 1984. Or, elle est l’un des pays les plus concernés par l’utilisation de la torture sur ses propres ressortissants.

Malgré les voix qui s’élèvent dans le monde entier pour dénoncer ses crimes et malgré des preuves accablantes, le régime chinois reste sourd à toutes les accusations qui sont portées contre lui. Le déni total est sa réponse.
Or, l’avancée économique de la Chine est un puissant levier pour éteindre les consciences qui pourraient s’élever contre des pratiques monstrueuses et génocidaires.
 
Le Parlement Européen a montré sa défiance et son indignation en bloquant les négociations de l’Accord sur les investissements avec la Chine, nous ne pouvons que le féliciter de cette décision, c’est une avancée considérable dans la reconnaissance de la répression féroce que subissent les Ouïghours actuellement.
 
 D’autres ethnies et groupes sont aussi concernés de longue date : les Tibétains, les Chrétiens, les Falun Gong, et maintenant le peuple Mongol. L’observation de l’implication de la Chine en Afrique est source d’inquiétude également : l’opacité des accords, la corruption et la stratégie de la dette laissent à prévoir un asservissement des pays sur ce continent : les méthodes agressives et dégradantes dont est coutumier le régime chinois commencent à être dénoncées.
 
 L’avancée de la Chine dans le monde implique clairement un recul des libertés et la généralisation de la répression accompagnée de la brutalité de ses dirigeants.
 
Lors de notre action concertée devant le Conseil Régional de Strasbourg pour protester contre l’installation de l’usine Huawei en Alsace, à cause de sa complicité avec le régime chinois pour opprimer les Ouïghours, le Président de la Région, Jean Rottner a mis en évidence dans sa réponse écrite «  l’implication de l’Etat à son plus haut niveau dans la décision d’implanter l’usine Huawei à Brumath ».
 
Cela ne revient-il pas à cautionner ces actes de torture, répression, génocide ?
Alors que le Président Emmanuel Macron a récemment reconnu la responsabilité de la France lors du génocide rwandais, la France ne devrait-elle pas élargir sa conscience pour condamner les crimes contre l’humanité en cours commis par l’Etat chinois?
 
La France est un pays grand pour avoir lutté contre la barbarie du Nazisme au 20° siècle, et en avoir triomphé : aujourd’hui le même schéma se reproduit ; la liberté est la base du modèle social en Europe et attire les opprimés de plusieurs pays ; les témoignages des nombreuses victimes du Parti Communiste Chinois devraient nous alerter sur les dangers qui guettent nos démocraties européennes.
 
Le 26 juin, les associations défendant les victimes du régime chinois s’uniront pour demander au Ministre de l’EUROPE et des AFFAIRES ETRANGERES Monsieur Jean Yves Le Drian, de prendre des mesures concrètes pour mettre fin à l’impunité des tortionnaires chinois vis-à-vis de tous les groupes et ethnies injustement persécutés en Chine, et de reconnaître officiellement le génocide Ouïghour.
Nous vous remercions de votre attention.
 
Brigitte Guiraud
Présidente de l’Association Initiative Citoyenne

 
Les Associations :
ETAC
OUÏGHOURS DE FRANCE
LUMIERE DE CHINE
FALUN DAFA FRANCE
SOLIDARITE MONGOLS
LIBERTE AU TIBET
 
 

Huawei nourrit de nombreuses controverses. Les accusations d’espionnage et les diverses exactions commises à l’encontre des droits de l’Homme en Chine ont conduit plusieurs associations à manifester contre l’implantation de l’usine Huawei en Alsace.

Source: NTD

Le jeudi 18 mars, l’Association Initiatives Citoyennes, très préoccupée par les droits de l’homme en Chine, a organisé un rassemblement pacifique en face du conseil régional du Grand-Est à Strasbourg pour boycotter l’implantation de l’usine chinoise Huawei, impliquée dans le génocide des Ouïghours, à Brumath (Bas-Rhin) en 2023, puis devant l’institut Confucius d’Alsace pour demander à la région de fermer cet institut, accusé d’être l’outil de propagande du Parti communiste chinois (PCC) et de l’organisme d’espionnage.

Brigitte Guiraud : Huawei n’est pas une entreprise indépendante. (Image : Caroline Daix / VisionTimes)
Brigitte Guiraud : Huawei n’est pas une entreprise indépendante. (Image : Caroline Daix / VisionTimes) 

La manifestation a rassemblé une centaine de personnes préoccupées des droits de l’homme en Chine, et issues des minorités ouïghours, tibétaine, mongole ainsi que les membres du Falun Dafa, mouvement spirituel d’origine chinoise persécuté en Chine depuis 21 ans.

La présidente de l’association, Brigitte Guiraud, a précisé les éventuelles risques courues par la région pour la « sécurité nationale », car l’usine se trouve à proximité de sites militaires de renseignement. De plus, Huawei n’est pas une entreprise indépendante, elle est liée au Parti communiste chinois, un régime génocidaire qui surveille et persécute la minorité musulmane des « Ouïghours, des Tibétains, des Mongols » ou celle des membres du mouvement spirituel Falun Gong. Il est difficile d’imaginer que la région coopère avec un régime génocidaire en lui attribuant en plus une subvention d’implantation de 800 000 euros, ce sont les contribuables français qui vont la payer.

Les manifestants ont pu adresser une « lettre ouverte » à M. Jean Rottner, le président LR de la Région Grand Est qui a joué un rôle important pour le projet d’implantation de Huawei en Alsace. Comme réponse, M. Jean Rottner a publié une lettre ouverte précisant qu’il était « aussi préoccupé » par la situation des Ouïghours et que Huawei n’avait bénéficié « d’aucun traitement de faveur », en rappelant que le versement de la subvention publique promise n’aurait lieu que si Huawei réalise ses « investissements industriels » en Alsace.Marina Lafay, l’élue de Strasbourg préoccupée par la sécurité nationale de la France et les sujets des Ouïghours. (Image : Caroline Daix / VisionTimes)
Marina Lafay, l’élue de Strasbourg préoccupée par la sécurité nationale de la France et les sujets des Ouïghours. (Image : Caroline Daix / VisionTimes) 

Marina Lafay, élue (Place Publique) au conseil municipal de Strasbourg et sociologue travaillant sur les minorités, très préoccupée sur les sujets des Ouïghours comme l’eurodéputé Raphaël Glucksmann : « Les politiques qui ont œuvré pour l’arrivée de Huawei finiront par s’en vouloir. Ils seront complices d’avoir favorisé l’espionnage industriel du gouvernement chinois ». Quant à la persécution subie par les membres du mouvement Falun Dafa, similaire voir plus cruelle que celle subie par les Ouïghours, l’élue Marina Lafay, a déclaré que c’est devenu mondialisée et industrialisé, ce qui s’apparente à ce que les Juifs ont subi, « cela rappelle la page la plus sombre de notre histoire ».Les manifestants appellent à rejeter le Parti communiste chinois. (Image : Caroline Daix / VisionTimes)
Les manifestants appellent à rejeter le Parti communiste chinois. (Image : Caroline Daix / VisionTimes) 

Pendant la manifestation, les pratiquants du Falun Dafa ont également appelé à signer la pétition et rejeter le Parti communiste chinois (Endccp.com), un mouvement mondial en plein essor pour réveiller la conscience des citoyens du monde entier.

Le projet de construction de l’usine Huawei a été confirmé le 26 janvier dernier entre le groupe chinois et les responsables politiques régionaux du Grand-Est à Strasbourg. C’est la première usine hors de Chine. Selon Huawei, cette usine sert à fournir des produits technologiques de réseaux de communication mobile et la fourniture de solutions techniques aux clients européens.

Cependant, en décembre dernier, IPVM, un organisme américain de recherche et de publication sur l’industrie de la surveillance, a publié un rapport alertant sur le fait que Huawei avait testé un logiciel développé par la société chinoise de reconnaissance faciale Kuangwei Technology dans son système basé sur le cloud, qui permettait aux caméras de surveillance d’identifier les Ouïghours dans les foules et d’alerter automatiquement la police.

Cette révélation a provoqué la démission des hauts dirigeants occidentaux de Huawei basés au Danemark et au Royaume-Uni. La star du football français Antoine Griezmann, qui a soutenu les smartphones Huawei, a également annoncé la fin de son partenariat avec Huawei.

Institut Confucius : Institut Mao Zedong

Dans l’après-midi du même jour, les manifestants ont continué à protester devant l’Institut Confucius d’Alsace. Les représentants des Tibétains, Ouïghours et notamment des Mongols ont déclaré que le régime communiste chinois a interdit ces minorités en Chine de parler leur propre langue maternelle, alors qu’il ouvre ces instituts dans le monde entier pour enseigner le chinois, c’est inadmissible.Manifestation devant l’Institut Confucius d’Alsace. (Image : Caroline Daix / VisionTimes)
Manifestation devant l’Institut Confucius d’Alsace. (Image : Caroline Daix / VisionTimes) 

Alain Tong, président de l’Association Falun Dafa France, a déclaré à l’occasion que le Parti communiste chinois a simplement utilisé le nom de Confucius pour ouvrir les « instituts Mao Zedong » dans le monde entier afin de faire la propagande de ce régime totalitaire. Il évoque son enfance passée en Chine où Confucius était considéré comme le plus grand ennemi de la Chine et interroge où est Confucius dans les instituts Confucius. Alain Tong a également mentionné le Virus de Wuhan qui est accusé de provenir du laboratoire P4 de Wuhan. Selon lui, c’est justement à cause de ce parti communiste totalitaire que l’on souffre depuis un an de cette pandémie qui va continuer à peser lourd dans notre quotidien. Il appelle les Alsaciens à cesser la coopération avec cet institut dangereux qui va provoquer d’autres dangers pour la région.


Source: Visiontimes

Plus de cent personnes réunies contre Huawei et le parti communiste chinois

À l’initiative d’associations de défense des droits de l’Homme en Chine et de collectifs ouïghours, tibétains et mongols, quelque 130 personnes se sont réunies jeudi face au siège de la Région Grand Est puis devant l’Institut Confucius, pour manifester leur opposition à l’implantation de Huawei à Brumath.

Une trentaine de personnes sont venues de Paris rejoindre la manifestation.  Photo DNA /Franck DELHOMME

D’ethnies, origines ou croyances diverses, les manifestants rassemblés ce jeudi à Strasbourg devant le siège de la Région Grand Est partagent une certitude : « Huawei et le parti communiste chinois, c’est la même chose ! »

À la lumière des exactions et persécutions commises en Chine à l’encontre des minorités, ils jugent particulièrement préoccupante la future implantation à Brumath, officialisée en janvier dernier, d’une usine du géant chinois des technologies. La première du genre en Europe.ADVERTISING

« Cela revient à faire venir en Alsace un régime répressif et génocidaire », estime Brigitte Guiraud, présidente de l’association « Initiative citoyenne », qui compte parmi les organisateurs de cette manifestation réunissant quelque 130 personnes, dont une trentaine venue en bus de Paris.

« C’est très inquiétant »

Objectif : protester contre la construction de cette usine subventionnée à hauteur de 800 000 euros par la Région Grand Est. Dans une lettre ouverte à Jean Rottner, remise ce jeudi en mains propres à son directeur de cabinet, le collectif alerte sur « le danger représenté par l’implantation de structures directement reliées au parti communiste chinois et pilotées par lui ». Il pointe des menaces, tant sur le plan « écologique » que celui de « la sécurité nationale ». La lettre ouverte adressée ce jeudi à Jean Rottner

« Je suis venu en France pour retrouver ma liberté. Si la Chine acquiert de plus en plus de pouvoir en France, c’est très inquiétant », exposait parmi les manifestants le président de l’association tibétaine de Strasbourg, qui a quitté la capitale tibétaine en 2008. « Pour les Chinois, je suis un animal, pas un humain », témoignait encore Bahtiyat, trentenaire appartenant à la communauté ouïghoure, qui a fui la Chine il y a six ans pour échapper aux persécutions.

Étaient présents une poignée d’élus locaux, parmi lesquels le porte-parole d’EELV Alsace et vice-président de Mulhouse Alsace Agglomération (M2A) Loïc Minery, les conseillères de l’Eurométropole de Strasbourg Aurélie Kossman et Marina Lafay (groupe Strasbourg écologiste et citoyenne), signataires en février dernier d’une lettre ouverte appelant Jean Rottner à « faire machine arrière » sur le dossier Huawei.

Dans un communiqué, la maire de Strasbourg Jeanne Barseghian a quant à elle appelé au « respect des droits de la communauté ouïghoure » et à « la prise en compte de la réalité [de sa répression] dans les décisions publiques, tant au niveau local que national et européen ».

Elle n’a en revanche pas réagi à la demande des manifestants de « cesser tout financement de l’Institut Confucius d’Alsace  », devant lequel la manifestation s’est déplacée dans l’après-midi.

Source: Lalsace.fr

L’association française « Initiative Citoyenne« , qui milite pour le respect des doits humains en Chine, organise une manifestation statique contre l’implantation de l’entreprise Huawei à Brumath jeudi 18 mars de 11 heures à 13 heures. Cette action se déroulera devant le conseil régional du Grand Est à Strasbourg. Un lieu qui n’a pas été choisi au hasard. La commission permanente du conseil régional du Grand Est a en effet validé, le 12 février, l‘attribution d’une subvention de 800 000 euros à la filiale de Huawei chargée de la création d’une nouvelle entreprise à Brumath.

D’autres associations, militant pour le respect du droit des humains en Chine, se joindront à cette mobilisation. Le Collectifs Strasbourg for Uyghurs, Liberté au Tibet, l’Institut Ouïghour d’Europe, l’association Tibétaine de Strasbourg, l’association Falun Dafa France seront notamment présentes lors de ce rassemblement.

Manque d’éthique, risque environnemental et danger pour la sécurité nationale

Brigitte Guiraud, présidente de l’association « Initiative Citoyenne », demande l’arrêt de ce projet pour des raisons éthiques :

« Les associations de lutte pour le respect des droits de l’Homme ont été choquées de voir la région attribuer 800 000 euros de subvention à l’entreprise Huawei qui dépend pourtant de la dictature chinoise. Pourquoi donner une telle somme à cette entreprise qui est un instrument de répression de la population Ouïghour en Chine ? »

L’entreprise Huawei a en effet développé un système de reconnaissance faciale qui permet d’identifier les personnes appartenant à la population Ouïghour.

Manifestation contre les Instituts Confucius à Rouen en Octobre 2020 (Photo Brigitte Guiraud)

Brigitte Guiraud dénonce aussi l’impact environnemental engendré par la création d’une nouvelle usine de télécommunication en Alsace. « Il y aura une prolifération de la 5G qui entrainera un pillage des ressources naturelles, notamment des terres rare, » affirme Brigitte Guiraud. La sécurité nationale est aussi au cœur des inquiétudes de la présidente de l’association « Initiative Citoyenne » : « les salariés de Huawei implantent dans leurs produits des logiciels permettant de collecter nos informations et de nous espionner ».

« Le régime de Pékin utilise les Instituts Confucius comme un cheval de Troie »

La manifestation se poursuivra devant l’Institut Confucius de Strasbourg de 14 heures à 16 heures. Pour Brigitte Guiraud ces institutions offrent une éducation influencée par la politique chinoise :

« Nous demandons la fermeture des Instituts confucius car le régime de Pékin les utilise comme un cheval de Troie. Les étudiants apprennent que Taïwan est une province chinoise, que le Tibet a été libéré par la Chine et ils n’entendront jamais parler de la manifestation de la Place de Tian’anmen. Les pensées d’une dictature s’infiltrent dans notre démocratie.  »

En octobre 2020 l’association « Initiative Citoyenne » avait déjà organisé une première manifestation à Rouen pour demander la fermeture des Instituts Confucius. Pour cette nouvelle mobilisation Brigitte Guiraud attend une centaine de participants.

Le documentaire de Michael Sztanke « Chine, la grande offensive », analyse l’implacable stratégie du pays, bien décidé à conquérir le monde. À voir jeudi 25 février sur France 2, à 22 h 55.

Le virus de Wuhan n’a pas affaibli la Chine. Il l’a dopée au point que le pays s’affiche aujourd’hui comme la seule puissance ayant contrôlé le virus sur son territoire, ce qui lui permet de poursuivre sa route vers la domination du monde en toute quiétude.

La puissance du documentaire de Michael Sztanke, qui connaît parfaitement l’Asie, est d’avoir trouvé des interlocuteurs crédibles qui témoignent à visage découvert. Les uns après les autres, de Pékin à Paris en passant par les États-Unis, ils décortiquent point par point l’implacable stratégie chinoise appliquée au niveau planétaire.

La France, cible facile

Encore plus frappant dans cette enquête, apparaît le choix de la France qu’a fait la Chine dans ses velléités d’imposer son modèle au monde. Au cœur de l’Europe et au Conseil de sécurité à l’ONU, l’Hexagone semble une cible facile et naïve pour la Chine. Habile séductrice, connaissant l’admiration de la France pour la culture chinoise « multimillénaire », la Chine s’infiltre dans tous les milieux influents dans notre pays : politique (Jean-Pierre Raffarin…), économique (Huawei…), culturel (Instituts Confucius…).

Tous les « Français-panda » interrogés font mine d’être aveugles sur le pouvoir de nuisance chinois qui subtilise le savoir-faire et les technologies françaises. Ils se défendent en parlant de « coopération » et de « paix », là où la Chine ne voit que des rapports de force à gagner. Ce documentaire équilibre son propos en donnant la parole à des militants et des hommes politiques européens qui dénoncent les violations patentes des droits de l’Homme par la Chine au Xinjiang, au Tibet et à Hong Kong. Cette prise de conscience du « mal chinois » commence à s’étendre au sein des opinions publiques, insiste Michael Sztanke : son documentaire y participe de façon éclatante.

Source: La-croix

Les Instituts Confucius se présentent comme un programme d’échange culturel et d’apprentissage de la langue chinoise en Chine comme à l’étranger. Depuis 2004, les Instituts Confucius se sont progressivement introduits dans plus de 1 600 universités et établissements scolaires dans le monde. Une manière, selon les fonctionnaires de Pékin, de “planter des drapeaux rouges partout dans le monde”. Le siège des Instituts Confucius décrit lui-même les Instituts comme étant une partie de «la diffusion de la propagande chinoise à l’étranger » et continue de développer sa stratégie de communication et de subversion idéologique. Mais le monde commence à réagir, et un nombre croissant d’établissements ont mis fin à leur partenariat avec ces entités controversées. Comment cet outil de propagande de Pékin a-t-il trouvé sa place dans les sociétés fondées sur un modèle démocratique? Quel est son but fondamental ? NTD analyse le développement de ce phénomène, et expose la réponse de la communauté internationale face à ces problématiques.

La Manifestation jeudi 15 octobre 2020 qui a eu lieu à Rouen pour demander la fermeture des Instituts Confucius: Cheval de Troie de Pékin, devant la NEOMA BUSINESS SCHOOL qui abrite le plus grand IC de France!

Le 15 octobre 2020 à Rouen, devant le plus important Institut Confucius de France, plusieurs associations, des parents d’élèves et des élus demanderont au ministère de l’Education nationale et aux présidents d’université l’annulation de leur partenariat avec les Instituts Confucius.

Il est inséré au sein même de la NEOMA Business School pour des raisons évidentes de stratégie économique et développement avec la Chine.

Notre collectif se mobilise depuis janvier 2018 pour dénoncer la STRATÉGIE DE PROPAGANDE, INFILTRATION et ESPIONNAGE véhiculée dans les INSTITUTS CONFUCIUS, implantés sur le territoire français, en partenariat avec nos Universités. On en comptait 1 en 2005 et aujourd’hui on en compte 17 et de nouvelles ouvertures sont prévues.

Manifestation
le jeudi 15 octobre à 14h30  Départ devant la mairie de Mont-Saint-Aignan
Départ de la manifestation au 59, rue Louis Pasteur
arrivée devant la Neoma Business School de Rouen


Présence d’associations de toute la France, de parents d’élèves, avec le soutien d’un collectif d’élus

Les INSTITUTS CONFUCIUS, sous le couvert d’échanges culturels et d’apprentissage de la langue chinoise, transmettent une propagande de la politique gouvernementale chinoise, une version fallacieuse de l’histoire contemporaine de la CHINE, qui se cache derrière l’image rassurante du Sage CONFUCIUS. Cet enseignement bannit la Liberté d’expression et d’opinion et toute autre forme de Liberté intrinsèque à la pédagogie d’un pays démocratique comme le nôtre.

Nos sources d’informations rigoureuses proviennent entre autres du témoignage d’une enseignante chinoise ayant travaillé dans l’Institut Confucius de TORONTO au Canada, et pour les aspects contractuels internes aux Instituts, du ministère chinois de l’Éducation.
 
Un nombre croissant de cas dans le monde révèlent une ACTIVITÉ PARALLÈLE d’ESPIONNAGE au sein même de ces Instituts entraînant leur fermeture, comme celui en Belgique de Bruxelles où le directeur a été interdit de territoire dans les 26 pays de l’espace SHENGEN. 

Aux Etats-Unis, Mike POMPEO, secrétaire d’Etat a déclaré « qu’il espérait que les centres culturels de l’Institut Confucius chinois sur les campus universitaires américains soient tous fermés d’ici la fin de l’année 2020 ; il les accuse de travailler pour recruter des espions et des collaborateurs et d’être une entité faisant progresser la propagande mondiale et l’influence pernicieuse de Pékin.« 

En SUÈDE, les INSTITUTS CONFUCIUS viennent tous d’être dissous sur tout le territoire, preuve du danger qu’ils représentent pour l’intégrité d’un pays. En SUISSE, celui de Bâle fermera à l’automne : en cause « l’impression de servir d’instrument de propagande chinoise au cœur de l’Europe. » Dans le monde entier et particulièrement en Europe, les pays comprennent que ces Instituts représentent une menace pour la liberté académique.
 
Pour toutes ces raisons, nous souhaitons que la Presse française respectueuse de la Liberté d’expression, relaie auprès de l’opinion publique notre demande aux Présidents d’Universités de cesser tout partenariat avec les Instituts Confucius.



NOS SOURCES
Le contenu d’un documentaire sur la nature cachée des Instituts Confucius
Notre enquête sont révélés dans le livret « Instituts Confucius Cheval de Troie » en PJ.
Fermeture définitive de tous les Instituts Confucius de Suède. Voir l’article résumant les faits.
Avertissement de Goran Lindblad, ancien vice-président de l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (Voir l’interview).
Communiqué co-signé par les associations Initiative Citoyenne et APACT
#InstitutsConfuciusStop


Envoyé par :
Brigitte Guiraud
Présidente de l’Association Initiative Citoyenne
Téléphone : 06.87.01.43.97
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